Comme une chienne

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il y a 7 ans

Comme une chienne

Cela faisait maintenant une petite heure que j’étais devant mon ordinateur, nu, en train de me chercher un plan cul. En attendant de trouver la queue qui me défoncerait, je matais, pour bien me chauffer, des vidéos où des bonnes lopes se faisaient exploser leur trou béant et dégoulinant de foutre par des bites énormes.

J’étais bien chauffé à blanc quand un mec me lance un message sur le chat « Au vu de tes photos t’as l’air bien cho, je cherche un bon passif soumis pour s’occuper de mon gros calibre 19/6, intéressé ? ». Je regarde son profil : 42 ans, 1m85, mince et surtout la photo de sa bite, ça a l’air sympa, je réponds sans détour pour bien lui montrer mon état d’esprit : « Mes trous de pute sont à toi ». On s’échange nos adresse Skype pour se voir en cam histoire d’être sûr de savoir à qui on a à faire.

Je branche ma cam, je suis debout nu, le sexe en érection, déjà bien chaud et j’ai droit à un « hum pas mal du tout » (33 ans, 1m81, 68 kg, imberbe et beau cul, c’est vrai que généralement les mecs se plaignent pas de moi). Il me lance « fais ta pute un peu ». Je commence alors à me caresser, à dandiner du cul, me pincer les tétons, me branler, me donner des claques sur les fesses, me pencher en avant pour montrer mon joli trou que je commence alors à doigter. « Oui c’est bien vas-y, mets plusieurs doigts ». J’y vais franchement et m’enfonce jusqu’à 4 doigts, mon trou est tout gras de gel. En même temps qu’il me regarde me dilater le fion, on discute et on s’aperçoit qu’on habite pas loin l’un de l’autre, une dizaine de minutes à pied. Il me demande alors « t’as un plug ? ». Sans répondre je vais chercher mon plug transparent de 6 cm de diamètre. « Cool, me dit-il. Tu le mets dans ton cul de pute, tu mets pas de sous-vêtement et tu ramènes ton cul chez moi, je t’attends ».

Me voilà dans la rue, basket, pantacourt, débardeur…bien suffisant par cet après-midi d’été……et surtout avec mon plug bien enfoncé dans le fion. Je croise des gens qui ne savent pas que j’ai ce truc en moi et que dans quelques instants je vais m’abandonner à un mec qui va me traiter comme un bout de viande : j’adore cette sensation.

Une fois devant son immeuble je sonne à l’interphone :

-Oui ?

-Yann ? C’est David.

-Qui ça ?

-David.

-Qui ?

Je tente alors :

-La salope qui vient s’occuper de ta queue.

-OK je t’ouvre salope.

Bingo,Cézam ouvre toi ! Devant sa porte je sonne. Il m’ouvre à poil et mes yeux plonge sur sa grosse bite pendante à demi molle : je suis surexcité ! « Et ben entre, me lance-t-il un sourire au coin des lèvres, je vais pas te manger ». Je rentre et arrive dans le salon, dans mon dos j’entends « A poil maintenant ». Sans me retourner j’enlève mon débardeur, laisse tomber mon pantacourt et, pour enlever mes baskets, je me penche bien en avant pour montrer le bout de plastique qui sort de mon cul. Je sens alors une de ses mains me caresser les fesses et mettre deux petites tapes. Il me retire alors doucement le plug « Et bien ma salope, t’es une gourmande, t’es bien dilaté. Tant mieux ma grosse bite a horreur des cul serrés ». Il me refourre alors le plug presque d’un coup ce qui a pour effet de me faire gémir.

« A genoux et suce ma bite maintenant ».

Je me retourne et découvre sa bite complètement en érection, une bite bien raide, droite, lourde et bien épaisse comme je les aime, je sens que je vais déguster. Mais pour l’heure je m’applique sur sa verge avec ma bouche, ma langue. Je lui fais la totale, je bave, je lape, je lèche. J’essaye de la prendre à fond mais rien à faire elle est trop épaisse, mes yeux pleurent, je manque de m’étouffer. Je lui gobe aussi les boules, j’espère qu’elles sont pleines d’un foutre bien gras.

« C’est bien, tu sais y faire, t’es vraiment une bonne chienne. Viens par là p’tite pute »

Il s’assoit sur son canapé. Je me dirige vers lui à quatre pattes, pose mes bras sur ses cuisses et retourne de plus belle sur sa bite. Je reçois une petite claque « Regarde moi quand tu me suces salope. T’es ma chose et je veux voir la vénération dans tes yeux ». Je le fixe dans les yeux, j’ai l’impression d’être encore plus à nu. Soudain son portable à ses côtés sonne. « Continue pendant que je réponds ».

.

« ah salut c’est toi…...ouai ça va……..tranquille, je suis en train de me faire pomper le dard par une nouvelle petite salope……je te promets…..tu veux venir en profiter, y’a de la place pour deux et elle sait y faire cette chienne……(les secondes s’écoulent et je ressent un mélange d’appréhension et d’excitation à l’idée d’un invité surprise)…..ok tant pis, une prochaine alors……ouai t’inquiète pas, tu me connais, je vais bien lui défoncer le trou, à plus »

« Dommage pour toi, mon pote et sa grosse bite sont pas dispos, mais la prochaine fois, parce que tu vas revenir, t’y échapperas pas. Je suis sûr que t’aimes ça t’occuper de plusieurs queues, pas vrai ma salope ? » Je le regarde et acquiesce la tête en fixant son regard alors que son gland me caresse la glotte.

« On va passer au chose sérieuse maintenant. Mets toi à quatre pattes sur le canapé que je te défonce le cul comme toutes les chiennes comme toi le méritent »

Je me mets en position. J’entends un bruit qui ressemble à du gel qu’on étale. Ce moment arrive enfin. Il retire le plug de mon cul (je l’avais presque oublié celui-là !), je sens son gland sur ma rondelle et d’un coup il engouffre sa queue en entier. Je pousse un râle. Il me tient par les hanches et commence ses va et vient. Je sens bien sa queue en moi qui me ramone, je suis aux anges ! J’ai bien sûr droit à des claques sur les fesses. Puis la cadence s’accélère, il m’attr a p e par les cheveux, me tire à lui et me dit à l’oreille :

-Tu la sens bien ma queue sale pute ?

-Oui elle est trop bonne.

-T’aime ça faire ta pute ?

-Oui j’adore, répondis-je.

-Plus fort ! m’ordonne-t-il.

-OUI J’ADORE !

-T’es ma pute ? hein ?

-Oui je suis ta pute (il me défonce le cul de plus en plus fort et profond, je déguste. Heureusement que le plug m’a bien préparé le fion).

-PLUS FORT ! crie-t-il.

-OUI JE SUIS TA PUTE, TA CHIENNE, TON VIDE COUILLE. DEFONCE-MOI AVEC TA GROSSE QUEUE DE MÂLE !! Je hurle.

J’entends alors son souffle s’accélérer. Il pousse des râles. Il se déverse en moi en criant « Prends ça chienne ! ». Il pousse trois derniers gros coups de rein et reste en moi, comme ça quelques secondes. J’ai le cul en feu. Il se retire et me colle aussitôt le plug dans le trou. « Nettoie-moi la bite ». Je me retourne et lui lèche avec délectation sa bite pleine de semence tout en le fixant dans les yeux. « Rhabille-toi, tu peux te casser maintenant ». Je m’exécute.

Je suis chez moi nu dans ma salle de bain, devant mon miroir. Je retire le plug de mon cul, le sperme coule le long de mes jambes. Je le porte à ma bouche et le lèche avec application tout en me regardant dans le miroir. Je me branle et expulse plusieurs jets puissants. J’ai hâte de le revoir, qu’il m’utilise encore, avec peut être son ami…..

....................

Depuis que Yann m’avait possédé il y a une semaine, je ne voulais plus qu’une seule chose : m’offrir encore à lui, qu’il me prenne par tous les orifices. Et c’était pour ce soir. Je n’en pouvais plus d’attendre. Je voulais qu’il me refasse son numéro de mâle dominant, je voulais être sa pute, encore. Je m’étais masturbé toute la semaine en pensant à ce qu’il m’avait fait, à sa grosse queue et à ce qu’il pourrait bien me faire.

Il était environ 18 heure lorsque je reçu un SMS : « Ramène tes trous de pute à cette adresse et appelle ce numéro quand tu y seras ». Tiens, il semblait y avoir du changement dans le programme. Visiblement j’allais passer dans les mains de quelqu’un d’autre. J’étais un peu angoissé mais surtout très excité à l’idée d’un plan à trois avec l’un de ses potes (peut-être celui qui l’avait appelé alors que j’étais en train de m’acharner sur son sexe lors de notre premier plan). J’enfilais un jock en guise de sous-vêtement et filais à mon rendez-vous.

Une fois à l’adresse indiquée j’appelais le numéro que Yann m’avait donné.

  • Oui allo ?

  • C’est David. Yann m’a dit d’appeler ce numéro.

  • Ah enfin, la petite pute que Yann m’avait promise. Il paraît que t’as de bons trous, j’ai hâte de voir ça. Va au numéro 3 et sonne à l’appartement 21.

Le type raccroche. Je m’exécute. Il m’ouvre depuis l’interphone, je monte au 3ème et vois la porte de l’appartement déjà ouverte avec le mec qui m’attend, les bras croisés. Il est grand (au moins 1m90), brun, la quarantaine et, à en juger par le t-shirt qui le moule, il doit passer ses journée en salle de musculation. Avec sa barbe mal rasée il a une bonne gueule de mâle viril et macho comme je les aime. Il me ferait même presque un peu peur. Mais bien sûr mon excitation l’emporte et je rentre dans son hall d’un pas assuré en matant bien au passage un paquet que je devine déjà bien tendu sous le jean. Il referme la porte et me plaque contre le mur tout en me tenant par la gorge avec une de ses mains puissantes. Je suis à sa merci.

  • Alors petite chienne, il paraît que t’aimes donner tes trous aux mecs machos ? La dernière fois j’ai pas pu venir mais cette fois t’es tout à moi. Je vais te faire ta fête.

Je n’ai pas le temps de répondre que le mec me fourre sa langue dans la bouche en me roulant une pelle bien langoureuse, presque sensuelle. J’étais un peu surpris de cette attention, un peu moins par la phrase qui suivit, ou plutôt l’ordre : « Fous toi à poil que je vois ce petit trou de chienne ». Je me déshabille alors complètement et me retourne contre le mur en me cambrant bien pour mettre en valeur mes jolies fesses imberbes. Il semble apprécier l’initiative du jock, se met à genoux et se jette sur mon trou d’un coup avec avidité. Je sens sa langue qui me lèche la rondelle, qui me pénètre petit à petit pour fouiller mon intérieur et sa barbe mal rasée qui me frotte les fesses : je suis au septième ciel. Ce mec sait y faire. Je me détends de plus en plus et il en profite pour m’enfiler un puis deux doigts mouillés de salive. Il me travaille le fion tout en me mettant des claques sur les fesses. « T’as vraiment un bon trou. Goûte ». Il me colle alors dans la bouche ses doigts que je mets à sucer lentement comme une chienne.

On passe ensuite dans le salon où je vois un canapé avec un ordinateur portable ouvert posé sur la table basse. « On va appeler un ami commun». Je commence à comprendre : Yann m’a mis à la disposition du mec et il veut nous mater en train de baiser. En effet, l’instant d’après le mec est assis sur le canapé, je suis allongé à côté, la tête plaquée sur son entre jambe et Yann nous regarde par vidéo interposée.

  • Alors Fabien, je t’avais bien dit que c’était une bonne petite pute ?

  • En effet tu m’avais pas menti. Je pense qu’elle a du potentiel cette chienne.

Mon b o u r r e a u du jour, Fabien, déboutonne alors son jean et laisse échapper une verge aux dimensions généreuses, bien courbée et toute veinée. Je me jette dessus et la suce avec gourmandise tout en fixant bien la caméra.

  • C’est bien, dit Yann, regarde moi quand tu fais ta pute. Me fais pas honte, suce le bien.

J’y retourne de plus belle, galvanisé par cette exhibition. Fabien me plaque sur sa queue en appuyant avec f o r c e sur la nuque : je manque de m’étouffer, je crache de la bave.

  • Je suis sûr qu’elle peut mieux faire cette salope, dit Yann. Baise lui la gueule.

Fabien se lève alors et se déshabille, me permettant d’admirer son torse puissant légèrement poilu (ce mec m’excite décidément un maximum, il pourrait faire ce qu’il veut de moi). Il me met sur le dos sur le canapé, la tête dans le vide, me bloque les bras de chaque côté du corps et il commence à me baiser la gueule. D’abord doucement, puis de plus en plus vite et surtout de plus en plus profond. Moi je ne vois que ses couilles qui s’écrasent sur mon nez et le visage de Yann, à l’envers. Enfin plus pour longtemps car la cadence de sa queue m’empêche de déglutir et la salive commence à couler le long de mon visage. J’ai maintenant les yeux fermés, le visage couvert de bave et Fabien qui me pénètre enfin entièrement de sa vingtaine de centimètres. A chaque fois qu’il me fourre sa queue jusqu’à la garde j’ai l’impression que je vais vomir. Ma gorge est en feu mais j’aime ça, et je ne suis pas le seul :

  • Putain t’es vraiment une bonne suceuse toi. Je pourrais te baiser la gueule pendant des heures salope. Mais je vais un peu m’occuper de ton cul maintenant.

Il me retourne, me mets à genoux devant le canapé, me pousse pour que ma croupe cambrée s’offre à la vue de Yann. Il saisit alors mes bras, me les plaque dans le dos et m’attache les poignets avec sa ceinture. Il me glisse alors à l’oreille : « Maintenant t’es à moi, je vais te baiser comme une chienne ». il commence par me donner des coups de bite sur mon trou, il la fait glisser le long de ma raie puis je sens son gland qui f o r c e ma rondelle. Je sens alors la largeur de sa queue me pénétrer jusqu’au bout.

  • T’as le cul chaud. T’es une vraie chaudière toi.

  • Vas-y, dit Yann à travers l’ordinateur. Tu peux le ramoner à fond. Formate lui bien le trou, j’ai envie de voir sa chatte explosée.

Fabien commence alors ses vas et viens avec un rythme soutenu. Il le fait avec de l’amplitude pour bien me faire sentir toute la longueur de son membre. Ses couilles claques contre mon cul.

  • Tu la sens bien ma bite salope ? (j’ai droit à une claque sur les fesses)

  • Répond chienne ! me relance-t-il plus autoritairement.

  • Oui elle est trop bonne. Défonce-moi.

  • Bonne petite pute, prends ça.

Il repart de plus belle avec sa queue. Il me secoue comme un vulgaire bout de viande, je ne suis plus qu’un trou pour lui. J’ai l’impression que le mec est en train de faire son sport de la semaine, il se donne à fond et moi je déguste. Sa queue me brûle les entrailles. Il la sort, la rentre brutalement, varie les effets et reprend son pilonnage en règle. Au bout d’un vingtaine de minute de baise intensive j’entends son souffle accélérer. Il commence presque à rugir puis ma lance :

  • Retourne-toi salope, ouvre ta gueule de pute bouffe !

J’ai à peine le temps de réagir que, à genoux, sa queue me balance plusieurs jets de foutre sur la gueule. J’en prends partout : visage, cheveux, bouche. J’avale avec gourmandise ce jus bien gras comme je les aime et je m’applique alors à nettoyer sa queue encore bien raide.

  • C’est bien, dit Yann par le biais de l’ordinateur. N’en perds pas une goute et regarde-moi bien pendant que tu nettoies la bite de mon pote.

Sa bite est délicieuse. Yann me lance : « Regarde-moi maintenant ». A peine ai-je levé la tête que le vois en train de prendre une photo avec son téléphone. « J’adore garder des souvenirs des petites salopes avec ma queue dans leur bouche ». Il me détache les poignets et me dit de me cambrer par terre en écartant les fesses avec mes mains pour bien ouvrir ma chatte dilatée par sa queue. « Et regarde moi bien avec ta gueule pleine de foutre quand je prends ton trou en photo ».

Une fois chez moi, je me branle en pensant à ce que j’ai subi et de la façon dont on a abusé de moi. Je repense à ce mâle viril, musclé qui m’a baisé comme si j’étais un vulgaire trou. J’aime savoir qu’il va garder des photos de moi à poil, soumis, mais ces photos allaient servir à tout autre chose….

bonnepute49

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